Retour
vers la civilisation. Sur le chemin du retour, 2 femmes hereros nous font de
grands signes, nous leur faisons aussi bonjour de la main. Quelques mètres plus loin, notre fils s’aperçoit
que le haillon est ouvert. C’est bon, tout a l’air d’être là. On repart en
remerciant les 2 femmes.
Visite
de Warmquelle, un peu décevant et cher pour faire 20 m de trajet (le gardien
nous demande 20 n$ par personne). On avait prévu de dormir à ce camp, mais il
ne nous tente pas du tout et comme c’était juste réservé, on
décide de continuer vers Opuwo.
On
part pique niquer plus loin et là, surprise, la caisse avec les conserves et
toute la vaisselle a disparu. Evidemment, elle est restée sur la piste de
Purros. On ne s’en est même pas rendu compte. En colère, frustré, et à peine
rassasié d’une tranche de jambon, on trace direct sur Opuwo, pas le choix, on a
pas mal de choses à acheter pour remplacer ce que nous avons perdu. La route
nous plait bien avec le Joubert
pass assez raide.
La
ville d’Opuwo est particulière, que de monde, après la solitude des paysages
que nous avons traversés. Un peu sale, aussi, on retrouve le Sénégal. On
rachète vaisselle et nourriture et cherchons un camping. Celui (pas cher)
indiqué sur le guide « lonely planet » n’existe plus depuis 3 ans,
tout comme la boutique d’artisanat
chaudement recommandée par ce même guide… Nous allons voir le Opuwo
country lodge car pas beaucoup de choix et c’est le mieux indiqué. A défaut
d’un grand terrain, nous aurons une belle vue sur la vallée avec un splendide
coucher de soleil.
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